(pas de note d’intention du chorégraphe)
Adage fluide d'un solo : les gestes sont accomplis dans toute leur amplitude et toute leur densité, avec une indicible grâce et une incomparable délicatesse.
La Croix de Toulouse, 20 novembre 1977
Cette pièce est née d'une complicité de travail de l'ordre du plaisir de la danse.
D'un aspect ludique, improvisé comme les enfants jouent.
L'attention se portait sur des points d'articulations qui mettent le corps en déséquilibre. Se jouer du mouvement et susciter autre chose par l'action du jeu.
Elle était organisée en phrases musicales précises dans les accents, les qualités d'énergie. Le développement s'adaptait sans se soumettre à la structure musicale de Haendel.
Pour Dominique c'était une manière d'exprimer la liberté d'exister.
La force du mouvement qui s'empare d'une forme établie, la transforme sans d'autres intentions que de communiquer un moment de joie au service de la danse.
Françoise Denieau, janvier 2002
Générique
Dominique Bagouet
Georg Friedrich Haendel : « Sonate en trio n° 23 »
Amy Flammer, en direct à la reprise pour le Festival d'Apt en 1977
Emprunté à Entre l'air et l'eau, chorégraphie de Peter Goss
9 novembre 1976
Angoulême, Comité d'animation culturelle
Fait partie du programme Dérives comprenant plusieurs pièces.
Repris au Palace à Paris en avril 1977
Françoise Denieau (solo)
7', en 3 mouvements
