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chansons de nuit /1976
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(pas de note dintention
du chorégraphe)
«
... Une très grande danseuse entourée
de deux poupées délicates, une articulation
en solos et en duos, dix minutes de danse (le temps
réglementaire de lépreuve) qui
plus tard se développeront à loccasion
des premières tournées, incontestablement,
le charme prend. Par le matériau utilisé,
par la méthode, encore extrêmement
narrative, Dominique Bagouet se situe donc dans
une zone intermédiaire. »
chantal aubry, bagouet,
éd. bernard coutaz, 1989
«
infiniment
subtil, il ne cesse dévoluer dans une
totale ambiguité créée par
le décalage constant des éléments
qui le constituent. Sur le lyrisme dune uvre
musicale de Tchaïkovsky, Dominique Bagouet
a superposé des gestes courts, furtifs, heurtés,
ni tout à fait sur la musique, ni tout à
fais en dehors delle et si de loin en loin
il y a rencontre, cest pour provoquer une
brève surprise. Cest étrange,
insolite, séduisant. On note également
le perpétuel refus de leffet , pas
de satire, pas la moindre impertinence (ce serait
un effet), alors que la ligne de conduite, lunité
du ballet, résident dans un apparent dilettantisme
inspiré et désinvolte. Linterprétation
est capitale, en dehors de ces trois danseuses dont
les différences de style et de morphologie
ajoutent à linsolite, le ballet peut
nêtre plus ou être tout à
fait autre chose. »
lucile rossel, les saisons
de la danse, avril 1976
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