danses blanches /1979 (pas de note d’intention du chorégraphe) « La facture abstraite est en partie contredite par le rapport à la musique. Ensembles, solos, duos se succèdent, selon des changements de musique. L’influence « Limon » est très présente, avec une gestuelle relâchée, très liée à la respiration et au poids. (…) Souvent, un morceau musical s’interrompt tandis que la danse continue, comme si le chorégraphe voulait observer ce que celle-ci devient lorsqu’elle est privée de son support musical. Il s’ensuit des moments parfois comiques, d’autres beaucoup plus poétiques, lorsque l’arrivée du silence donne à voir la musicalité, le phrasé propre au mouvement lui-même. » isabelle ginot, dominique bagouet, un labyrinthe dansé, éd. centre national de la danse, 1999