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ribatz, ribatz ! /1976
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(pas de note dintention
du chorégraphe)
« Réglé
pour 7 danseurs et danseuses sur une musique auvergnate
jouée par le groupe gentiane, cest
une parodie des fêtes de campagne où
la « personnalité »
de chacun se découvre sur des rythmes cocasses
et entraînants. Dominique Bagouet y fait preuve
doriginalité, oubliant tout ce quil
a vu ailleurs et son humour sépanouit
librement avec un dynamisme étonnant. »
andré-philippe hersin,
les saisons de la danse, 1977
« Il s'agissait
d'aller aux bords, explorer les angles peu utilisés,
dépasser les limites admises, vers l'en-dedans,
vers le calme, vers le mou ou l'incongru, par exemple,
dans les oppositions, dans les croisements, déhancher
quelquefois, même, et surtout chez Dominique
l'amble. L'amble était omniprésent,
toujours près à déformer ou
reformer un mouvement ébauché. Activer
un seul côté, ou le lâcher, ou
le tordre. L'amble saisissant tout le poids d'un
seul côté nécessite une mobilisation
particulière du postural. Style « Limon
» revu et personnalisé, déformé,
amplifié, détourné. C'est le
début du style bagouetien.(...)
ribatz, ribatz !
cristallise une interrogation. Certainement. De
toutes façons il y a un paradoxe évident.
Cette pièce a été beaucoup
plus demandée que dansée. Elle était
encore demandée longtemps après qu'elle
eût été abandonnée. »
jean rochereau, octobre 2000
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